Pour un bilan des connaissances archéologiques
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Le développement de l’archéologie de la période moderne a largement contribué au renouveau des connaissances sur la faïence. Des pans entiers de culture matérielle, de la fin du Moyen Âge à la Renaissance et au XVIIe siècle, sont ainsi révélés par de récentes fouilles archéologiques, tant en France qu’en Belgique. Cet ouvrage réunit onze contributions, présentées à l’occasion de la table ronde internationale de Sens, qui permettent d’aborder différents aspects touchant à la fabrication, l’utilisation et la diffusion de ces vaisselles et objets luxueux, qui ne seront popularisés qu’à partir de la fin de l’Ancien Régime. Où, quand et pour qui étaient fabriquées ces céramiques diffusées sur un vaste territoire, jusqu’en Amérique comme le montrent les découvertes du fort Cartier-Roberval à Québec. Originaires de France (Lyon, Montpellier, Nevers, Rouen…), d’Espagne, d’italie ou de Belgique, ces majoliques et faïences témoignent de la circulation des hommes, des techniques et des styles. Grâce aux apports de l’archéologie, tout particulièrement de l’archéologie préventive, cet ouvrage propose une vision actualisée de nos connaissances de la majolique et de la faïence en France et en Belgique du XVe au XVIIe siècle.