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Leopardi, poète italien du XIXe siècle, à la poésie aux accents mélancoliques, et en qui Musset avait reconnu un frère, n’a pourtant pas eu de véritable moment de gloire en France. Cet ouvrage conserve l’espoir de faire comprendre et aimer l’œuvre de Leopardi en faisant connaître l’homme en lui-même. Son œuvre expose de manière sous-jacente, la question de la maladie. Norbert Jonrad s’engage, ici, à mettre en exergue les rapports entre la poésie et la philosophie au relief du pessimisme leopardien. Ce volume tend à reconstituer l’évolution psychologique et morale, l’itinéraire spirituel d’un écrivain en étudiant sous tous ses aspects la genèse de son œuvre.