Page 65 - Catalogue
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Critique littéraire étrangère
325p.—15x23cm.—2012
ISBN 978-2-36441-025-1 Code SODIS F 398246 23e
Collection Écritures
250p.—14,5x21cm.—2011
ISBN 978-2-36441-006-0 Code SODIS F 398002 22,00 e
Hors collection
130p.—15x23cm.—2011
ISBN 978-915611-87-8 Code SODIS F 229898 15,00 e
Collection Écritures
La Renaissance des genres : pratiques et théories des genres littéraires entre Italie et Espagne (XVe-XVIIe siècles)
Sous la direction de Paloma Bravo, Cécile iglesias et Giuseppe Sangirardi
La réflexion sur les genres littéraires à la Renaissance s’est peu renouvelée au cours des dernières années en dépit des apports récents de la théorie de la réception et de la linguistique pragmatique pour les études génériques en général. Ce volume reprend le fil d’une réflexion amorcée il y a une trentaine d’années dans l’ouvrage La notion de genre à la Renaissance qui était consacré pour l’essentiel à la littérature française. Si la plupart des études s’attachent à décrire la vaste phénoménologie des pratiques génériques, se dégagent aussi de l’ensemble les lignes d’un cadre théorique. Emergent d’une part une analogie certaine des pratiques à l’intérieur de l’espace littéraire italo-espagnol et d’autre part, la richesse de strates de la conscience générique, qu’on ne saurait réduire à la reprise ou au refus des « genres consacrés », mais qui se manifeste à travers la complexité et la diversité des processus de modélisation
Discours et genres rebelles
Sous la direction de Hélène Fretel et Cécile iglésias
Cet ouvrage s’interroge sur l’existence de genres, sous-genres ou discours considérés comme « rebelles », au sens où ils sont le vecteur privilégié d’une forme de contestation qui choisit l’art comme moyen d’action, à des fins politiques et sociales comme à des fins esthétiques.
Cette réflexion collective aborde des formes d’expression, écrites ou audio-visuelles, adoptant une posture provocatrice et critique vis-à-vis des normes esthétiques mais aussi morales de l’époque contemporaine dans l’aire hispanique, surgies au long du XXe siècle ou dans la première décennie du XXIe.
Luceafarul de Mihai Eminescu : portrait d’un dieu obscur
Gisèle Vanhese
Eminescu (1850-1889) a redécouvert le symbolisme de mythes appartenant aux strates les plus profondes de la psyché. Chez lui, le génie ailé du folklore roumain, qui vient troubler les jeunes filles pendant la nuit, a polarisé l’identité masculine et a coïncidé avec l’image du démon romantique. C’est à travers l’écriture et l’imaginaire que se révèle, le sens profond de certains traits caractérisant le portrait et l’autoportrait chez Eminescu. Si les premiers chapitres analysent l’avant-texte de Luceafărul, les derniers prennent en considération l’après-texte éminescien.
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