Page 88 - Catalogue
P. 88

Droit et sciences politiques
434p.—16x24cm.—1997
ISBN 978-2-905965-22-3 Code SODIS F
27,44 e
Collection PUB
La Constitution du 24 juin 1793 : l’utopie dans le droit public français ?
Textes réunis par Jean Bart, Jean-Jacques Clère, Claude Courvoisier et Michel Verpeaux ; coordination de Françoise Naudin-Patriat
Bien que la Constitution du 24 juin 1793 (ou Constitution de l’an I) n’ait jamais été formellement appliquée, elle a pu consacrer une certaine forme d’utopie politique, mais aussi juridique, comparée aux autres constitutions, notamment révolutionnaires. Célébrer son bicentenaire, c’était, pour les historiens, politistes et juristes réunis lors du colloque qui s’est tenu à Dijon, s’interroger sur la place de ce texte dans la longue histoire constitutionnelle française et constater à la fois son originalité et son influence sur les textes postérieurs.
Juges, notaires et policiers délinquants XIVe-XXe siècles
Sous la direction de Benoît Garnot
Cet ouvrage s’articule autour de trois thèmes complémentaires : le bon magistrat, puis les mauvais juges et les notaires et policiers défaillants. Les délits constatés tiennent soit à la vie privée, soit à la fonction et au statut, transgressés dans le but de satisfaire son intérêt propre ou celui des proches, parfois même à la demande des justiciables. Quelle que soit sa nature, privée ou professionnelle, cette délinquance donne matière à scandale auprès d’une opinion publique qui semble l’admettre aussi mal à toutes les époques. Les études présentées dans ce volume le prouvent bien : les juges, les policiers et les notaires ne peuvent pas être des délinquants ordinaires.
Production, répartition et monnaie
Claude Gnos
Cet ouvrage a pour thème l’analyse macroéconomique de la répartition, qu’il aborde en référence aux principales étapes de l’histoire de la pensée économique, de Ricardo à nos jours. Inversant une formule qui a su frapper les esprits à défaut de pouvoir les convaincre ; il montre que les phénomènes réputés microéconomiques, observables à l’échelle des individus, des firmes ou des marchés, ont un fondement macroéconomique qu’il faut découvrir pour comprendre le mouvement réel de l’économie. C’est ainsi que l’expérience immédiate des firmes, dont les profits s’ajoutent aux coûts de production, ne peut tenir lieu de théorie. Il faut en réalité expliquer l’imputation des profits sur le produit, grandeur globale, indivise à sa source.
205p.—16x24cm.—1997
ISBN 978-2-905965-20-7 Code SODIS F
15,24 e
Collection PUB
177p.—16x24cm.—1992
ISBN 978-2-251630-72-4 Code SODIS F
15,24 e
Collection PUB
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